En ce joli mois de mai…

Le taux de survie médian des patients atteints du cancer bronchique à petites cellules (CBPC) s’élève approximativement à un an. Afin d’évaluer si la réponse du CBPC à la chimiothérapie et la survie avaient évoluées au fil du temps, les taux de survie et de mortalité ont été comparés durant deux périodes distinctes entre 1997 et 2017.

En tout, 529 patients consécutifs atteints de CBPC et consultant l’Hôpital Universitaire de Grenoble, en France, ont été inclus dans l’analyse, la plupart souffrant de CBPC étendu. Les résultats de l’analyse se sont révélés décevants : aucune différence significative n’a été détectée en termes de paramètres d’évaluation entre les deux périodes d’examen. Les facteurs indépendamment associés à la mortalité étaient: comorbidités cardiovasculaires, comorbidités hépatiques, indice de performance ECOG faible et CBPC étendu.

Le Dr Toffart et ses collègues ont conclu leur recherche en mettant en évidence le fait que depuis 1997, aucune amélioration majeure n’a eu lieu en termes de taux de survie ou de taux de réponse à la chimiothérapie pour le CBPC. Dès lors, de nouvelles approches thérapeutiques s’avèrent absolument indispensables en vue d’améliorer la survie des patients atteints de CBPC.

Le personnel touché par le brown-out se désengage, se démotive et perd tout intérêt dans le cadre de son travail. Loin d’être aussi grave qu’un burn-out, le brown-out reste néanmoins beaucoup plus répandu. Une société de coaching américaine a récemment observé 1 000 cadres et a estimé que parmi eux, 5 % souffraient de burn-out, alors que 40 % étaient, quant à eux, victimes de brown-out. Ce syndrome du brown-out peut s’avérer assez léger et généralement réversible, cependant ses conséquences à long terme sont souvent graves.

Le brown-out a tendance à se manifester par des symptômes typiques, tels que la démobilisation, l’insatisfaction et la léthargie. Vous arrivez au travail et pouvez y rester de longues heures, mais le cœur n’y est pas. Vous n’êtes plus intéressé par de nouvelles idées, votre proactivité est au plus bas, tout comme votre envie de communiquer et de vous sociabiliser.

Et, il ne s’agit pas seulement du travail : souvent, le brown-out s’invite dans votre vie personnelle. Vous devenez renfermé, voire passif-agressif. Plutôt que de faire la lecture à vos enfants ou d’échanger avec votre partenaire, vous vous montrez maussade ou indifférent avec ceux qui vous entourent. Notre prochaine newsletter vous donnera les clés stratégiques pour combattre ce fléau sociétal.

Voilà un mois que je suis chez Cremer Consulting SARL, et quel mois riche ! À présent, je me sens déjà plus à l’aise en traduction médicale. Je me suis familiarisée avec le vocabulaire spécialisé, j’ai acquis une bonne méthode de travail et je me suis habituée à certaines tournures de phrases qui me paraissaient bien complexes auparavant… Les textes que je traduis sont toujours très intéressants et variés. Chaque soir, je quitte mon travail avec l’impression d’avoir appris beaucoup. C’est motivant !

Les journées ne se ressemblent pas : les tâches sont nombreuses mais jamais les mêmes. Un domaine qui m’enthousiasme particulièrement est la rédaction d’actualités médicales. Toutefois, il est si facile de se perdre dans les recherches sur le Web que je dois m’imposer certaines contraintes de temps. Mon but est non seulement détecter les informations au cœur de l’actualité, mais aussi de bien les illustrer. Notre contenu doit être original et captivant. Mon but a-t-il été atteint ? À vous de juger.

Chez Cremer Consulting SARL, le service client est primordial et j’y participe volontairement. Rédiger des posts pour nos partenaires, assurer notre présence sur les réseaux sociaux et être en contact avec les clients … Pour moi, toutes ces activités sont bien nouvelles et je ne cesse d’apprendre. Affaire à suivre dans la prochaine Newsletter.