Janvier 2020 – le mois de l’espoir
Pour arriver au succès, il faut continuer à mettre un pied devant l’autre. Ne sautez pas les étapes ! Les personnes qui ont le plus de succès créent leur propre chance en travaillant dur, en restant concentré et en prenant des décisions difficiles qui leur permettent d’évoluer.
Rien ne peut remplacer un dur travail. Les personnes qui ont du succès ne réussissent pas au premier essai. Elles restent concentrées et continuent à saisir des opportunités même lorsqu’elles ont déjà atteint le succès.
Nous vous souhaitons beaucoup de succès, cette semaine et au cours de l’année exaltante à venir, vous le méritez !
Profil de client : le Dr Bausard Latrech, algologue, Bruxelles
Notre collaboration avec le Dr Bausard Latrech n’a débuté que récemment mais nous avons déjà parcouru un long chemin ensemble. Notons que le Dr Latrech a passé la majeure partie de sa jeunesse à Strasbourg, le siège de notre entreprise. Il travaille désormais depuis plusieurs années à Bruxelles, une ville dont bon nombre de nos clients sont originaires.
Le Dr Latrech a suivi ses études de médecine à l’université de Strasbourg, où il s’est également spécialisé en anesthésiologie. Depuis ces jeunes années, il a acquis une vaste expérience en anesthésie et en réanimation, aussi bien dans le contexte médical que chirurgical. Il est également titulaire d’un diplôme interuniversitaire en anesthésie loco-régionale de l’université Paris-Est Créteil et d’un autre diplôme interuniversitaire de l’université Paris Descartes dans le domaine de la douleur aiguë et chronique.
Le Dr Latrech est l’auteur et le co-auteur de multiple articles scientifiques rédigés en français ou en anglais qui ont été publiés dans de grands journaux internationaux à facteur d’impact élevé. Il a participé à de nombreux symposiums et conférences en lien avec son principal domaine d’intérêt : l’évaluation et le traitement de la douleur ainsi que les techniques guidées par échographies et autres techniques innovantes.
Récemment, en novembre 2019, le Dr Latrech a été promu au poste de chef de service de la clinique de la douleur de l’hôpital Chirec, Bruxelles, Belgique. Nous lui adressons nos sincères félicitations pour cette nouvelle étape dans sa belle carrière.
Comment écrire un excellent article scientifique
Durant l’hiver 2018, le biologiste théoricien Van Savage, qui était alors en congé sabbatique à l’Institut de Santa Fe, a conduit des discussions animées au sujet de la rédaction des articles scientifiques avec McCarthy, lauréat du prix Pulitzer. Ces discussions se tenaient chaque semaine. Ensemble, ils ont travaillé de façon intense afin de condenser les conseils rédactionnels de McCarthy en quelques énoncés courts. Dans les lignes qui suivent, nous partageons la partie II de ces énoncés avec vous:
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- N’élaborez pas trop. N’utilisez des adjectifs que s’ils sont pertinents. Votre article n’est pas censé constituer un dialogue répondant aux potentielles questions des lecteurs, n’anticipez pas ces questions de façon excessive. Ne racontez pas la même chose de trois manières différentes dans la même partie.
- Ne vous inquiétez pas trop des lecteurs qui souhaitent trouver le moyen d’argumenter sur chaque point.
- En termes de grammaire, la langue orale et le bon sens sont généralement de meilleurs guides que les livres de grammaire durant la phase du premier jet. Pour commencer, il est plus pertinent d’être bien compris par les lecteurs que de construire une phrase grammaticalement parfaite.
- Les virgules marquent une pause dans le flux de parole. Le connecteur « in contrast» placé au début d’une phrase doit être suivi d’une virgule, et ce non pas pour séparer ces deux mots du reste de la phrase mais plutôt pour maquer la séparation entre cette phrase et la précédente.
- Les tirets servent à mettre l’accent sur ce que vous considérez comme essentiel sans avoir recours au gras ou à l’italique, ils ne sont pas seulement là pour définir des termes. Ne vous reposez pas sur les points-virgules comme béquille pour relier deux idées vaguement liées. Cela ne fait que favoriser un mauvais style. Vous pouvez ponctuellement utiliser des contractions telles que « don’t» ou « it’s ». Ne soyez pas excessivement formel. N’utilisez pas de points d’exclamation pour attirer l’attention du lecteur ; au lieu de cela, utilisez par exemple l’adverbe « surprisingly » ou « intriguingly ».
Retrouvez la totalité des pensées de McCarthy sur https://www.nature.com/articles/d41586-019-02918-5
La boxe a-t-elle causé la maladie de Parkinson de Muhammad Ali ?
Personne ne le sait vraiment mais cela pourrait bien être le cas. Muhammad Ali, qui a dû se soumettre à une batterie de tests avant de recevoir le diagnostic de la maladie de Parkinson à l’âge de 42 ans, a lui-même deviné ce qui était en train de lui arriver.
« J’ai été sur le ring pendant plus de 30 ans et j’ai reçu pas mal de coups. C’est possible que quelque chose cloche », a déclaré M. Ali, s’adressant au médecin supervisant les tests. La boxe professionnelle peut entraîner des dommages cérébraux, c’est un fait actuellement bien établi. La boxe est unique en son genre, puisqu’il s’agit du seul sport dont l’objectif consiste à infliger des coups à la tête en vue d’atteindre un chaos, c’est-à-dire une perte de conscience.
La maladie de Parkinson, décrite pour la première fois par le généraliste James Parkinson il y a environ deux siècles, survient lorsque des neurones de la substancia nigra, une structure cérébrale également désignée sous le terme de ganglions de la base, est lésée et meurt. Ces cellules produisent une structure chimique vitale, la dopamine. Les symptômes commencent à apparaître lorsqu’environ 80% des cellules productrices de dopamine sont endommagées. Les principaux symptômes de la maladie sont des tremblements, des mouvements ralentis, une rigidité et des troubles de l’équilibre.
Une question restera toujours sans réponse : Muhammad Ali serait-il toujours avec nous s’il avait arrêté la boxe assez tôt ?
Les dernières années de van Gogh
En mai 1889, lors de l’une de ses périodes de troubles psycho-émotionnels, Vincent van Gogh s’est lui-même fait interné au sein de l’asile Saint-Paul de Saint-Rémy-de-Provence. La cause exacte de sa maladie mentale est toujours fortement débattue parmi les scientifiques et les historiens aujourd’hui.
À ce jour, le diagnostic le plus largement accepté est celui du trouble bipolaire, en raison des périodes d’énergie inépuisable suivies par une dépression invalidante observées chez van Gogh. Son médecin d’établissement assistant avait diagnostiqué une épilepsie mais ce diagnostic neurologique a été écarté par les experts modernes. Une autre théorie qui aurait pu expliquer ce caractère étrange, empli de passions et de rêves, était celle de la porphyrie à un stade avancé, mais elle n’est plus envisagée comme correcte aujourd’hui.
Lors de son premier séjour dans le cloître Saint-Paul, van Gogh était d’abord autorisé à quitter les lieux sous surveillance. Une légère amélioration initiale de son état mental a été observée. Cette amélioration a cependant été suivie par une aggravation spectaculaire. Il devint alors nécessaire que van Gogh reste dans l’enceinte de l’asile. Ne pouvant plus être en contact avec ses paysages favoris, il a été contraint de peindre sur la seule base de ses souvenirs et de ses expériences limitées. Toutefois, c’est durant cette période que van Gogh a peint certains de ses plus grands chefs-d’œuvre, à l’instar de sa légendaire Nuit étoilée. Elle représente, en fait, la vue qui se présentait à lui depuis sa fenêtre de la façade de l’asile.