Juillet 2019, le mois de la confiance

02/07/2019

Offrez-vous une pause estivale relaxante ! Quand les enfants ont terminé l’école et que les vacances d’été arrivent, il est temps de partir. Chez Cremer Consulting SARL, nous sommes sur le qui vive tout au long de l’été afin de vous décharger et de vous laisser profiter de cette belle saison. Contactez-nous !

L’été a finalement décidé de pointer le bout de son nez. Laissez-nous prendre votre travail en charge pendant que vous prenez des vacances bien méritées. Vous voulez en savoir plus ? Consultez notre site www.cremerconsulting.com et envoyez vos publications en cours à info@cremerconsulting.com. Maintenant vous pouvez pleinement profiter de l’été 2019 !

Un nouvel article accepté pour publication !

Un nouvel article accepté pour publication !

Une autre bonne nouvelle : l’article du Dr Valérie Gounant et al., de l'hôpital Bichat – Claude- Bernard, Paris, a été accepté pour publication dans le Journal of Thoracic Oncology en l’espace de 48 heures. Son introduction devrait prochainement être disponible sur PubMed.

Ce rapport se penche sur l’observation d’une femme âgée de 66 ans qui souffrait d’un syndrome de Meige d’étiologie inconnue qui s’est déclaré 2 ans avant le diagnostic d’un adénocarcinome pulmonaire métastatique avec réarrangement RET.

À la connaissance des auteurs, ce rapport accompagné d’une vidéo didactique est le premier cas de syndrome de Meige paranéoplasique rapporté à ce jour. Défini par l’association de deux dystonies faciales, le blépharospasme et la dystonie oromandibulaire, le syndrome de Meige est la plupart du temps idiopathique. Cependant, certains cas secondaires à des troubles cérébraux ou à l’utilisation prolongée de neuroleptiques ont été décrits. La plupart des patients sont traités avec succès par injection de toxine botulique ou traitement étiologique.

Nous sommes plus que ravis de ce nouveau succès et vous encourageons, vous aussi, à nous confier votre travail, peu importe où vous en êtes dans le processus d’écriture ! Nous prenons en charge des projets de la conception à la soumission, et peaufinons également des travaux presque terminés, comme le montre le succès de cette publication !

Partie 2. Conseils pour écrire une bonne section « matériel et méthodes »

Partie 2. Conseils pour écrire une bonne section « matériel et méthodes »

Dans un article scientifique, les mêmes erreurs ont tendance à revenir régulièrement dans les différentes parties du manuscrit. En conséquence, le lecteur est incapable de retrouver les messages clés de l’article. Afin de mieux structurer votre manuscrit, voici quelques conseils. Après la partie 1 qui traitait de l’introduction, continuons maintenant avec la section « matériel et méthodes ».

  • Cette section est habituellement la plus simple à rédiger. Néanmoins, 30 % des raisons expliquant pourquoi un article a été refusé sont liées à cette section. Ainsi, il est essentiel d’apporter soin et attention à l’écriture de cette section.
  • Pour cette section, il est essentiel de donner des informations claires, appropriées, et détaillées sur le plan de l’étude, les sujets étudiés et les méthodes employés ainsi que la collecte et l’analyse des données. Dans cette section, toutes les informations relatives aux données fournies dans la section des résultats doivent être pleinement expliquées.
  • Récemment, certaines expressions marquant la propriété de l’étude telles que « nous avons étudié » ou « nous avons analysé » ou encore « nous avons réalisé » sont devenues acceptables. Toutefois, les messages contenus dans cette section doivent être très clairs, concis, et compréhensibles.
  • Comme pour toutes les études scientifiques, il faut respecter certains standards d’écriture et éviter l’usage de phrases alambiquées ou non pertinentes. Il faut également respecter les règles de grammaire et les unités de mesure du système international. Les abréviations doivent suivre leur explicitation dès leur première mention.
  • Le dernier paragraphe de cette section contient souvent des évaluations statistiques. Cette section devrait si possible être rédigée par un statisticien compétent et expérimenté.

Notre newsletter du mois d’août se concentrera sur des conseils pour rédiger une bonne section « résultats » (Partie 3).

À déguster et apprécier avec modération…

À déguster et apprécier avec modération…

Les vins de la Cave Historique des Hospices de Strasbourg symbolisent la tradition et le savoir-faire ancestraux ainsi que la générosité, la diversité et la beauté de la magnifique région d’Alsace, dans l’Est de la France. Ces vins ont encore une âme.

Un endroit empli d’histoire
La cave historique n’était pas utilisée uniquement pour le stockage des vins, mais aussi pour les céréales et les denrées périssables. Dès le 17 e siècle, l’aspect sanitaire des hospices devint rapidement prépondérant suite aux progrès de la médecine et de la chirurgie. En conséquence, les quantités de vin et de nourriture distribuées aux patients et au personnel ont progressivement diminué. Au fil des années, les inflexibles lois du marché ont sérieusement affecté les comptes de la cave à vins. En 1994, à cause du manque de vignes, d’outils adéquats, et de savoir-faire approprié, l’utilisation des caves a cessé et les tonneaux en bois se sont rapidement dégradés. La cave était donc presque destinée à disparaître.

Un renouveau enthousiaste
En 1996, pour le 600 e anniversaire de la Cave Historique de Strasbourg, trois anciens tonneaux ont été restaurés et utilisés pour élaborer un Pinot Blanc et un Gewurztraminer Mambourg, tous deux vinifiés, vieillis et embouteillés sur le site. Un autre tonneau a été rempli et a prouvé que les palettes aromatiques des vins alsaciens avaient été significativement améliorées grâce à leur vieillissement en fût. Perpétuant six siècles de tradition, de nouveaux vignerons alsaciens ont désormais restauré les domaines viticoles de la Cave Historique de Strasbourg pour produire une fine sélection de vins alsaciens.

Un millésime légendaire de 1472
Derrière sa porte se cache un fût historique de 1472 : le plus vieux vin du monde à avoir été vieilli en fût. En 1994, des œnologues de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) ont procédé à un examen organoleptique du millésime. Cette analyse instrumentale a prouvé qu’il s’agissait encore de vin. Ils ont jugé que ce vin âgé de 500 ans possède « une très belle robe brillante, très ambrée, un nez puissant, très fin, d’une très grande complexité, des arômes rappelant la vanille, le miel, la cire, le camphre, les épices fines, la noisette et la liqueur de fruits… »

Pour en savoir plus, visiter : https://www.vins-des-hospices-de-strasbourg.fr/fr/