Juin 2019 – Le mois des fruits et des légumes

04/06/2019

De nos jours, il semble y avoir une journée nationale pour tout ! En juin, les fruits et légumes frais sont à l’honneur : à l’approche de l’été, il y a de nombreux fruits et légumes à déguster.

Chez Cremer Consulting, nous ne savons que trop bien à quel point il est important de veiller à une alimentation équilibrée, pour soi et pour sa carrière. Si vous mangez déjà beaucoup de fruits et légumes chaque jour, vous êtes sur la bonne voie. Vous êtes peut-être prêts pour la prochaine étape : éviter le stress. Pour cela, apprenez à déléguer davantage et sous-traitez certaines de vos activités.

Un nouvel article accepté pour publication

Un nouvel article accepté pour publication

Une autre bonne nouvelle : l’article du Prof. Damien Gruson des Cliniques Universitaires St- Luc de Bruxelles a été accepté pour publication dans Clinical Biochemistry. L’article se concentre sur le développement de l’intelligence artificielle (IA) et de la science des données (SD) dans le domaine de la santé.

Le recours à la SD et à l’IA progresse à grande vitesse, entraînant une transformation progressive de la médecine de laboratoire. Ces technologies offrent la possibilité de répondre à des besoins cliniques encore insatisfaits en améliorant la personnalisation des soins et l’efficacité des processus de laboratoire et parcours de soins. Cette évolution n’en est cependant qu’à ses débuts, et l’équilibre entre fonctionnalité et opportunité demeure un sujet de préoccupation.

Comme pour les autres activités de laboratoire, il convient de garantir le fonctionnement continu ainsi que la continuité des soins. Dans cet environnement de données toujours en mouvement, des sauvegardes efficaces sont indispensables afin de pouvoir restaurer les données, les systèmes d’exploitation, les applications et les fichiers. Les équipes doivent définir des objectifs de point de reprise et la perte de données maximale admissible. Le besoind’une large validation des performances cliniques est fondamental. Cela passe en premier lieu par des équipes multidisciplinaires composées de médecins, laborantins, data scientists et
professionnels de la santé.

L’intégration de la SD dans les pratiques de laboratoire dépendra aussi en grande partie de la capacité des sociétés scientifiques internationales à définir des lignes directrices de bonnes pratiques. Il est essentiel de répondre aux défis éthiques associés à la SD et à l’IA. La validation interdisciplinaire des systèmes d’IA est cruciale pour assurer leur fiabilité.

Parlons peu, écrivons bien !

Parlons peu, écrivons bien !

Les rapports et les propositions commerciales sont souvent rédigés dans un mauvais anglais, sans se soucier de l’impact que cela pourrait avoir. Comme beaucoup d’autres compétences, l’écriture se travaille et même les plus réticents à l’écriture peuvent améliorer leur style en évitant quelques écueils communs.

  •  Fautes de frappe et de grammaire : Evitez les erreurs d’inattention. Face à une mauvaise grammaire et des fautes d’orthographe, votre client pourrait se poser des questions concernant le soin que vous porterez à ses travaux. Ainsi, vérifiez à deux fois ou demandez à un collègue de vous relire.
  •  Jargon managérial inutile : Les gens se lassent de lire des expressions de type « performances optimales » ou « […] de pointe ». Rédigez un texte exempt de tout jargon, qui s’adresse directement au lecteur.
  • Oublier votre lecteur : Plutôt que de penser à finir votre texte aussi vite que possible, concentrez-vous sur vos lecteurs. Quelles informations veulent-ils ? Sous quelle forme en ont-ils besoin ? De combien de détails ont-ils besoin ?
  • Longs mots et tournures alambiquées : Vos lecteurs sont bien trop occupés pour les déchiffrer.
  • Phrases complexes : Ecrivez des phrases claires et directes, qui attirent directement l’attention du lecteur.
Partie 1. De précieux conseils pour écrire une bonne introduction

Partie 1. De précieux conseils pour écrire une bonne introduction

Dans les articles scientifiques, les mêmes erreurs de structure et de contenu reviennent fréquemment. Le lecteur est alors incapable d’en extraire les messages clés. Voici quelques conseils pour vous aider à mieux structurer votre manuscrit. Commençons par la section « Introduction ».

  •  L’erreur la plus courante est d’écrire une introduction trop longue. L’objectif principal de cette section est de définir et contextualiser votre sujet de recherche. Bien qu’il n’y ait aucune limite stricte de taille pour l’introduction, gardez à l’esprit qu’elle ne doit pas dépasser 10 % du nombre de mots total de votre manuscrit.
  •  Le manque de cohérence dans l’introduction est fréquent. Tout en contextualisant votre sujet de recherche et en présentant l’état actuel des connaissances, l’introduction devrait graduellement guider les pensées du lecteur vers les objectifs de l’étude. Idéalement, le lecteur devrait avoir bien compris l’importance du sujet avant même d’avoir lu les objectifs de l’étude.
  •  Evitez de rédiger une longue revue de la littérature et lorsque vous faites référence à un article publié, insistez sur le résultat à proprement parler et non sur l’auteur ou les auteurs. Par exemple, il est préférable de ne pas écrire « Smith et al. ont démontré que… » mais plutôt de résumer brièvement les résultats, avec le numéro de référence.
  •  La précision et la concision sont les principes clés que vous devriez suivre tout au long de votre introduction. Ainsi, vous éveillerez la curiosité des lecteurs sans les ennuyer.