Publications en langue anglaise
Cette période de l’année a quelque chose de charmant, lorsque les feuilles jaunissent et que l’air de fin de journée se rafraîchit. Pour nous, c’est une période intense de publications.
Besoin de traductions express ?
En octobre, l’effervescence de la rentrée n’est pas toujours passée, et avec elle les projets qui s’accumulent, les deadlines qui raccourcissent…
Avec ses 10 années d’expérience en communication médicale, Cremer Consulting SARL a su s’adapter aux exigences du domaine, et aux impératifs des cliniciens, de l’industrie pharmaceutique et du cadre réglementaire.
Ces hautes exigences ainsi que les imprévus aux délais très courts sont devenus notre spécialité. Vous avez une traduction urgente à rendre le lendemain voire même le jour même ? Nous sommes là pour vous en libérer.
Confiez-nous vos documents sans attendre ! Nos équipes feront en sorte de respecter vos délais, même les plus courts !
Réponse aux commentaires des réviseurs
Le peer review est devenu un élément clé du processus académique de rédaction de travaux. Toutefois, savoir comment répondre aux commentaires des réviseurs peut s’avérer difficile. Que faire pour accroître vos chances ? Voici quelques conseils.
1) Si vous êtes en désaccord, développez. Il se peut que vous soyez en désaccord avec les commentaires des réviseurs, mais il est essentiel de justifier votre propos. C’est l’essence même d’un débat scientifique. Expliquer pourquoi vous n’êtes pas d’accord peut aider le réviseur/éditeur à prendre une décision éclairée.
2) Ne faîtes pas perdre de temps aux réviseurs. Se montrer « économe » dans les réponses faîtes aux réviseurs est une erreur typique des auteurs inexpérimentés. Sachez que ni les éditeurs ni les réviseurs n’ont assez de temps pour examiner votre nouvelle version ligne par ligne. Pour simplifier les choses, copiez et collez chaque commentaire d’un réviseur et tapez votre réponse juste en-dessous.
3) Incluez les modifications requises. Une des principales erreurs commise par les auteurs inexpérimentés est d’oublier de mettre à jour le manuscrit initial. Pour éviter cela, nous vous invitons à réaliser les modifications dans un premier temps, avant d’inclure le numéro de la ligne dans votre réponse.
Apprenez-en plus sur les traductions médicales
Les médecins praticiens sont souvent amenés à communiquer en écrivant à des collègues à l’international ou bien en s’adressant à un public plus large. Voici quelques conseils pour une communication internationale réussie.
1) Quelle sera l’utilisation de la traduction ? Le texte est-il uniquement pour votre information ou bien sera-t-il publié en version papier ou en ligne ? Si le texte est destiné à être publié ou à être utilisé pour communiquer avec vos collègues, vous aurez probablement besoin d’une aide professionnelle.
2) Est-ce que Google Traduction est utile ? Faîtes bien attention : les traductions faîtes par Google Traduction sont souvent trompeuses. Dans une étude analysant la précision de Google Traduction dans la communication médicale, les traductions étaient correctes dans seulement 58 % des cas.
3) Vous avez besoin d’un réviseur médical… ? Cela dépend principalement de vos compétences linguistiques. Si vous avez un haut niveau de connaissance d’une langue étrangère, une des possibilités est d’écrire le texte dans la langue étrangère et d’ensuite le faire réviser par un professionnel. Cet expert doit être un native speaker et doit bien connaître la discipline en question.
4) …ou bien d’un traducteur médical ? Pour les textes plus cruciaux, la meilleure option est de loin de faire traduire le texte scientifique par un traducteur professionnel. Vous avez ainsi la garantie que votre message sera correctement retransmis à votre audience cible.
Principales raisons de refus d’un manuscrit
Si un de vos manuscrits a récemment été refusé, ne désespérez pas : vous n’êtes pas le seul ! Les journaux de renom ont un taux de refus de plus de 90 %. Ceci étant dit, les manuscrits sont souvent rejetés pour des raisons auxquelles il est simple de remédier, et que vous pouvez donc prendre en main.
1) Le travail n’est pas pertinent pour le journal. La principale raison de refus de manuscrit est le manque d’informations nouvelles. Dans la sphère académique, les journaux disposant d’un grand facteur d’impact sont souvent privilégiés, malgré des taux de refus excédant 95 %. Essayez plutôt de choisir un journal dont la portée et le lectorat sont appropriés.
2) Trop faible qualité de rédaction. Un mauvais style, une structuration bancale et une préparation de second ordre sont les principaux facteurs de refus d’un manuscrit, en dépit de résultats significatifs. Pourquoi ne pas demander l’aide de professionnels chevronnés dont les compétences rédactionnelles et l’expertise sont irréprochables ?
3) Non-respect des instructions pour auteurs. Avant de soumettre un manuscrit, assurez-vous que les instructions pertinentes du journal ont été respectées. Le meilleur moyen d’éviter tout problème est de commencer à écrire tout en examinant attentivement les directives du journal sélectionné.
4) Réponse insuffisante aux requêtes des réviseurs. Les requêtes mineures ou même majeures ne signifient pas automatiquement que votre manuscrit est refusé. Tous les commentaires doivent faire l’objet d’une réponse attentive dans le cadre d’une lettre de nouvelle soumission.