Septembre 2019 – le mois des nouveaux départs
L’été touche à sa fin. Vous appréhendez la reprise du travail après cette relaxation estivale ? Déléguer vos travaux est la meilleure solution ! Faites recours à l’expertise nos spécialistes en publication médicale pour vous aider à donner vie à vos projets ! Rédiger, traduire, réviser, adapter et soumettre, nous sommes ravis de vous aider avec une ou l’ensemble des étapes de la publication de vos travaux.
Un autre article accepté pour publication!
une bonne nouvelle : L’article de Catherine Lambert et al., département d’hématologie, Institut Roi Albert II, Bruxelles, Belgique, a été accepté pour publication dans le journal Hematology. Son résumé devrait prochainement être disponible sur PubMed.
L’article du Dr Catherine Lambert se concentre principalement sur le développement de matériel pédagogique pour les patients atteints d’hémophilie et leurs familles en Côte d’Ivoire, ainsi que sur l’évaluation de ce matériel. Ce matériel pédagogique semble être une nécessité dans les pays en voie de développement. Toutefois, il doit être adapté au contexte socio-culturel afin d’atteindre une efficacité maximale.
Dans le cadre de cette étude, l’objectif principal du Dr Lambert était de créer du matériel pédagogique adapté au contexte ivoirien. Un des objectifs secondaires était d’évaluer leur impact sur les connaissances relatives à l’hémophilie à court et long terme. Enfin, l’étude visait à tester la motivation des participants et leur satisfaction quant à ces outils pédagogiques.
Après l’élaboration des outils, ces derniers ont été délivrés à 71 participants à l’étude, dont 37 patients atteints d’hémophilie, 29 porteurs d’hémophilie, et cinq pères de patients hémophiles. Le niveau de connaissance relatif à l’hémophilie a été évalué avant l’utilisation du matériel (T0), directement après son élaboration/utilisation (T1), et 1 an après (T2).
Selon les conclusions des auteurs, les outils élaborés peuvent contribuer à améliorer lasensibilisation à l’hémophilie dans les pays en voie de développement et faciliter l’instauration de dépistages, moyens de prévention et stratégies de gestion de l’hémophilie.
Partie 4. Conseils pour écrire une bonne section « discussion »
La section « discussion » est une partie essentielle de votre manuscrit. Elle vise en premier lieu à interpréter les observations émergeant de votre recherche. Contrairement à la partie
« résultats », qui présente les données de recherche, cette section a pour objectif de débattre de leurs implications théoriques et pratiques. Après la section « résultats » traitée dans notre newsletter du mois d’août, continuons maintenant avec la section discussion.
- La plupart des auteurs débutent cette section avec un bref résumé des résultats de recherche, fournissant ainsi un contexte aux arguments qui suivront. Il est intéressant de noter que certains lecteurs font l’impasse sur la section « méthodes et résultat » et passent directement à la discussion en vue de discerner les implications pratiques de la recherche.
- D’autres auteurs préfèrent commencer la discussion en expliquant pourquoi cette recherche est unique. Ils continuent ensuite en débattant des résultats de l’étude. D’autre commencent par répéter l’objectif de l’étude avant de débattre de ses résultats.
- Quelle que soit la façon dont la discussion commerce, les auteurs doivent ensuite se concentrer sur l’interprétation des données. Pour ce faire, il est par exemple possible de comparer vos données de recherche avec les résultats d’autres études pertinentes. Sachez qu’il convient de citer aussi bien des études avec des résultats similaires que des études avec des résultats qui diffèrent. Les raisons pouvant expliquer ces différences doivent également être débattues.
- De nombreux auteurs inexpérimentés évitent de mentionner les limitations de l’étude, en partie car ils craignent que leur manuscrit soit rejeté. Cette crainte est totalement infondée ! Mentionner les limitations de l’étude conduite est en réalité un must.
Une visite au Musée d’Art moderne
La visite au Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg est toujours une aventure. Elle vaut toujours le coup ! L’objectif numéro 1 du musée est de mettre en perspective la création artistique de 1870 et à nos jours en donnant un aperçu de cette dernière.
Un morceau d’histoire
La collection d’œuvres d’art de la ville de Strasbourg a été en grande partie détruite guerre franco-allemande de 1870 – 1871. L’épouvantable bombardement de 1870 a réduit l’ensemble des musées de la ville à néant. Les Strasbourgeois ne sont toutefois pas laisser décourager, et de nouvelles œuvres d’art ont été achetées. Les œuvres collectionnées jusqu’à la Première Guerre mondiale provenaient majoritairement d’artistes alsaciens. Après la guerre, la collection s’est étendue à des artistes de toute la France, à partir de 1945, des œuvres du monde entier ont été acquises.
Une architecture transparente pour flâner
Le nouveau bâtiment du musée a été érigé entre 1993 et 1998 selon les plans de l’architecte Adrien Fainsilber, un élève de l’architecte suisse Le Corbusier. Ses formes sont claires et transparentes ; elles offrent un cadre solennel pour les œuvres exposées. Une donation du peintre surréaliste Jean Hans Arp, en tant que signe de reconnaissance de sa ville de naissance, a apporté une contribution substantielle à la collection du musée. Aujourd’hui, la place du musée porte son nom.
Questions, perspectives et correspondances
La partie centrale du musée est une nef qui ressemble presque à une cathédrale gothique. Il a été entièrement renoncé aux ornements inutiles et fioritures. Les accrochages, qui changent régulièrement, suivent la plupart du temps des critères thématiques. Ces dernières années, le musée s’est fait un nom sur la scène internationale. Si vous êtes de passage à Strasbourg, nous vous recommandons la visite du musée en tant que must-do.